Les Tropéziennes, vos pieds vont les adorer !
0Les beaux jours semblent s’installer en ce fin de mois de mai, et c’est le moment parfait pour rechercher la ou les paire(s) de sandales qui vous emmèneront jusqu’au bout de l’été ! Aujourd’hui, nous allons consacrer cet article à une marque référence en matière de nu-pieds, discrète dans les médias mais incontournable aux quatre coins de la France, vous allez tout savoir sur la marque « Les Tropézienne de M. Belarbi ».
L’histoire des Tropéziennes est peu commune et a abouti à une réussite qui dépassait, à l’époque, toutes les espérances. L’histoire de la marque, on la doit à un seul homme Mohamed Belarbi, qui, à l’époque, était reconnue comme quelqu’un de très ambitieux et débrodant complètement d’énergie, ce qui explique sans doute la fulgurante ascension de la marque ces dernières années. C’est dans le milieu des années soixante que tout a commencé, dans le sud de la France, dans un petit village que tout le monde connaît, à St Tropez. Il était alors commerçant, plus précisément détaillant d’accessoires de mode divers et variés dans une petite boutique. Jusque là, rien de bien fascinant, et pourtant, une brillante idée lui vînt à l’esprit: faire fabriquer ses propres modèles de sandales. A l’époque, le marché des marques est très peu développé et toutes les places restaient encore à prendre, notamment sur le marché de la sandale, et ce qui a fait la différence. Il se rendit au Maroc, terre d’origine de la famille Belarbi, pour chercher les potentiels usines qui assureraient la fabrication de ses premiers modèles. Ce jeune homme, pourtant très ambitieux, a su commencé petit, la première année, il ne produit qu’une centaine de paires destinée uniquement à sa propre boutique mais le jeu en valait la chandelle, puisque c’était également un bon moyen de tester la demande. Ce jeune commerçant avait la chance de voir passer à sa boutique toute une foule de jeunes femmes très libérés et demandeuses de ce type de produits. Inutile de vous dire que ces filles étaient, pour la majorité, en vacances, et qu’elles avaient le temps et l’envie de créer, d’innover, et Mo avait bien compris l’avantage qu’il pourrait tirer de demander l’avis et le ressentit au sujet de ses produits à ce type de clientèle. Année après année, les modèles de tongs, de sandales et de mules prenaient tout leur sens et certains commerçants du sud commencèrent à le démarcher personnellement. Ils avaient, pour la majorité, entendu parler des sandales uniques que produisait Belarbi, et ils les voulaient tellement que certains n’hésitaient pas à le visiter, à sa boutique, pour le convaincre de les approvisionner. Quelques mois après le début de ces demandes, et parce que l’idée lui trottait déjà depuis un bon bout de temps, les fabrications étaient enfin lancés par Mo lui-même, et ses quelques nouveaux clients ont enfin pu proposer des créations qu’on connaît aujourd’hui sous le nom de « Les Tropéziennes par M. Belarbi ». La petite marque a fait du chemin depuis les années soixante dix, elle est aujourd’hui sous la gérance de la firme Eram qui s’occupe de la fabrication et de la distribution des produits. Belarbi, quant à lui, est toujours là, il coule désormais des jours paisibles au Maroc, et son fils s’occupe de quelques une de leurs boutiques dans le sud de la France, plus précisément à Sanary et St Tropez.
L’histoire de la marque, maintenant, vous la connaissez, je vais donc passer à la présentation des modèles les plus en vue de la saison, et vous allez voir qu’aucun style n’est laissé de coté, tongs, sandalettes, mules compensées, on les retrouve tous. La fabrication des sandales est majoritairement indienne, ce qui n’empêche pas une bonne qualité de fabrication. Fort de son statut de première revendeuse de nu-pieds pour la saison été, Les Tropéziennes devançent même certains grands noms dont on connaît pourtant la bonne réputation, c’est le cas Birkenstock ou Birkenstock ou Crocs. Il faut dire que avec plus de deux millions de paires vendues en France en 2014, c’est très dur de rivaliser ! Pour voir notre article qui compare les marques de Tropéziennes et Birkenstock, clique sur ce lien.
Le compensé représente une large place auprès des tendances du moment. Bien que ce style ne se soit jamais réellement démodé, il est particulièrement mis en avant par de nombreuses marques cette année, et on le retrouve inévitablement chez les Tropéziennes dans un modèle que vous pourrez retrouver sur le web sous le nom de Pacha, ci dessous les quatre coloris que vous retrouverez sur le site (on en a laissé aucun de côté, ce sont les quatre existants).
La sandalette Hiboux ressemble beaucoup au modèle Hérisson, le plus connu de tous. Il représente fièrement le style originel de la marque, les lanières ont simplement été ancrée à des endroits différents sur la semelle dans le but de la mettre au goût du jour, mission accomplie avec le modèle de Tropézienne Hiboux !
Il en est de même pour le modèle Billy qui s’inspire de la tong Tropéziennes Narvil. Un ingénieux montage a été préconisé au niveau de l’insertion des brides dans la semelle, la Billy s’illustre également pas sont revêtement qu’on pourrait qualifier de métallisé, ou irisé.
Et voici un modèle que j’attendais avec impatience, notamment parce qu’il fait parti d’une nouvelle gamme de produit sur lesquels une couche de caoutchouc a été ajoutée. Le confort est donc garanti, rien à voir avec les autres créations, et c’est la toute première année que vous pouvez les tester pour de vrai. Si la multicolore Bimbo a tous les atouts pour séduire, elle n’en reste pas moins très abordable, compter environ 55 euros pour vous l’offrir. Au moment ou j’écris cet article, d’autres coloris de Bimbo arrivent à l’entrepôt, je ne vous montre donc qu’une seule photo, mais d’autres déclinaisons du modèle Bimbo arriveront sur le site très prochainement.
La classique Tropézienne Hic fait l’unanimité auprès des jeunes femmes, ces sandales plates montantes enrobent le pied, et même la cheville. Ce n’est pas un hasard si elle est rééditée depuis près de dix ans, elle reste un des modèles sur lequel on peut compter pour s’assortir à presque tous les styles. Investissez sur une valeur sûre avec la, Tropéziennes Hic !
Tropéziennes Baraki, des tongs plutôt originales qui cassent la baraka cette saison ! Si il y a bien un point sur lequel les créateurs de la marque font très fort, c’est sur les alliances de textures et de coloris. Tous deux se marient à la perfection, peu importe le style, et on vous en apporte la preuve avec les deux modèles ci-dessous, l’une noires et léopard, l’autre bronze métallisé, cuir craquelé et sa lanière tressée rose.
Hercris, l’authentique descendante du style Tropézien, est de retour. Après la sandale Hérisson, puis Heriber( la version cuir), Herflash (la version flash), place à la Tropéziennes Hercris qui allie effet craquelé et revêtement métallisé. Ce modèle séduit les femmes mûres de plus de trente ans, moins les plus jeunes.
Je vais sans doute compléter cet article de quelques nouveaux modèles d’ici peu de temps, n’hésitez pas à me laisser vos impressions sur la nouvelle collection, et surtout vos modèles préférés (aidez-nous à améliorer nos sélections en laissant des commentaires, si vous pensez que l’on passe à côté de certains que vous aimez, un petit message pourrait les faire se retrouver comme par magie sur le catalogue la saison prochaine.)